Arsenal Football Club est un club de football anglais fondé le 1er mai 1886 à Londres.
Membre du « Big Four », Arsenal participe au championnat d'Angleterre de football depuis 1919 ; il en a remporté treize éditions, ce qui en fait le troisième club le plus titré d'Angleterre, ainsi que dix coupes d'Angleterre. Sur le plan continental, les Gunners (en français : « les canonniers ») comptent à leur palmarès une Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe obtenue en 1994. Ils ont également atteint les finales de la coupe de l'UEFA en 2000 et de la Ligue des champions en 2006.
Résident dès 1913 du stade de Highbury, situé dans un quartier du nord de Londres, le club s’est installé en 2006 dans une nouvelle enceinte de 60 355 places : l'Emirates Stadium, situé à Ashburton Grove. Arsenal nourrit une certaine rivalité avec les nombreux autres clubs de la capitale, mais celle l'opposant à Tottenham Hotspur, avec qui il dispute chaque année le « North London derby » est particulièrement ancienne et profonde.
Le club est dirigé par Peter Hill-Wood, fils et petit-fils des anciens présidents Denis et Samuel Hill-Wood. Il remplace son père à la mort de ce dernier, en 1982, après vingt ans aux responsabilités. Son entraîneur depuis 1996 est le Français Arsène Wenger, qui a mené notamment son équipe à deux doublés Coupe-championnat en 1998 et 2002.
Membre du « Big Four », Arsenal participe au championnat d'Angleterre de football depuis 1919 ; il en a remporté treize éditions, ce qui en fait le troisième club le plus titré d'Angleterre, ainsi que dix coupes d'Angleterre. Sur le plan continental, les Gunners (en français : « les canonniers ») comptent à leur palmarès une Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe obtenue en 1994. Ils ont également atteint les finales de la coupe de l'UEFA en 2000 et de la Ligue des champions en 2006.
Résident dès 1913 du stade de Highbury, situé dans un quartier du nord de Londres, le club s’est installé en 2006 dans une nouvelle enceinte de 60 355 places : l'Emirates Stadium, situé à Ashburton Grove. Arsenal nourrit une certaine rivalité avec les nombreux autres clubs de la capitale, mais celle l'opposant à Tottenham Hotspur, avec qui il dispute chaque année le « North London derby » est particulièrement ancienne et profonde.
Le club est dirigé par Peter Hill-Wood, fils et petit-fils des anciens présidents Denis et Samuel Hill-Wood. Il remplace son père à la mort de ce dernier, en 1982, après vingt ans aux responsabilités. Son entraîneur depuis 1996 est le Français Arsène Wenger, qui a mené notamment son équipe à deux doublés Coupe-championnat en 1998 et 2002.
Histoire
Arsenal est fondé sous le nom de Dial Square FC en 1886[1] par des ouvriers de la manufacture d'armes Royal Arsenal, située à Woolwich, à l'Est de Londres sur la Tamise. Rebaptisé Royal Arsenal peu de temps après[2], le club adopte l'appellation Woolwich Arsenal lorsqu'il prend forme d'une Limited company en 1891. Les Gunners débutent en Football League Second Division, dont ils sont le premier club du sud du pays, en 1893[1]. Ils évoluent alors au Manor Ground de Plumstead. Quand ils sont promus en Football League First Division en 1904, il n'y a toujours pas d'autre club de la région de Londres en Football League. Cet isolement géographique du club handicape le club, qui connait des problèmes financiers en raison des faibles affluences lors des matchs joués à domicile.
Woolwich Arsenal (en foncé) face à Newcastle Utd en 1906.
En 1910, malgré la promotion de Tottenham et Chelsea dans l'élite, le club est proche de la faillite quand les hommes d'affaires Henry Norris et William Hall le rachètent[3]. Norris cherche à faire déménager le club, et alors qu'Arsenal est relégué en Second Division en 1913, il prend possession d'un nouveau stade situé dans le quartier d’Highbury, au nord de la capitale : l'Arsenal Stadium. L'année suivante, le club abandonne logiquement le Woolwich de son appellation et devient l’Arsenal Football Club[4].
Cinquième de Second Division en 1915, à la veille d'une interruption de quatre ans due à la Première Guerre mondiale, Arsenal bénéficie de l'élargissement à 22 clubs de la première division en 1919 pour y être promu dans des circonstances qui font polémique[4]. La promotion du club paraît peu défendable sur le plan purement sportif[5], si ce n'est les saisons passées par le club londonien dans l'élite, et semble être due en partie à l'influence de son président Norris[5],[note 2]. Dans le même temps, ses rivaux de Tottenham Hotspur, derniers de première division en 1915, sont relégués. Depuis lors, Arsenal n'est jamais redescendu en division inférieure.
En 1925, le talentueux Herbert Chapman devient l'entraîneur d'Arsenal[1]. Il a déjà remporté le championnat avec Huddersfield Town Football Club en 1924 et 1925, et Arsenal lui doit sa première période de succès majeurs. Ses méthodes d'entraînement et ses tactiques qualifiées de révolutionnaires, ainsi que des joueurs tels que Alex James et Cliff Bastin, sont à l'origine de la domination du club dans le football anglais des années 1930[1]. Dauphin d'Huddersfield Town en championnat en 1926, finaliste malheureux de la Coupe d'Angleterre en 1927 face aux... Gallois de Cardiff City, Arsenal remporte son premier trophée en 1930 en battant Huddersfield en finale de la Cup, puis enlève son premier titre de champion l'année suivante, grâce notamment par l'efficacité de son buteur Jack Lambert[5]. Vice-champions en 1932, les Gunners gagnent les trois championnats suivants (1933, 1934 et 1935), et ce malgré le décès de Chapman, victime d'une pneumonie en 1934. Ce dernier a tout de même le temps de faire renommer la station de métro Gillepsie Road en Arsenal[5], unique arrêt londonien portant le nom d'un club de football.
Après la conquête d'une deuxième victoire en Coupe en 1936 et un nouveau titre en 1938, Arsenal est durement frappé par la Seconde Guerre mondiale, qui coûte la vie à neuf de ses joueurs[5]. Au retour des compétitions, Arsenal remporte à nouveau le championnat en 1948 et 1953, ainsi que la Coupe d'Angleterre en 1950. Malgré ces succès, le club ne peut retrouver des joueurs de la qualité de ceux qui composaient son effectif dans les années 1930, et remporte peu de trophées avant les années 1970. L'ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre de football Billy Wright, devenu manager du club, ne parvient à connaître le moindre succès.
La seconde époque dorée commence en 1966 avec l'arrivée du physiothérapeute Bertie Mee en tant que manager[5]. Après deux finales de Coupes de la Ligue anglaise perdues, ils remportent la Coupe des villes de foires, leur premier trophée européen, en 1970, après avoir battu l'Ajax Amsterdam de Johan Cruijff et les Belges d'Anderlecht. Cette victoire est suivie de leur premier doublé coupe-championnat d'Angleterre en 1971, qu'ils ne sont que le deuxième club à réaliser après Tottenham, dix ans plus tôt[1].
Malgré ces succès, la décennie 1970 est caractérisée par un grand nombre de rendez-vous manqués. Ils finissent seconds du championnat en 1973, perdent deux finales de coupe d'Angleterre (1972, 1978). Mené par le gardien Pat Jennings, le défenseur David O'Leary et le milieu de terrain Liam Brady[1], Arsenal connaît un grand succès en battant à la dernière minute Manchester United en finale de la coupe d'Angleterre en 1979[5], mais la saison suivante est terrible avec deux défaites en finale de la coupe d'Angleterre et de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupes, perdue face le Valence CF à l'issue de l'épreuve des tirs aux but.
Le retour de l'ancien joueur international écossais George Graham en tant que manager en 1986 ouvre pour Arsenal une nouvelle période de succès[1]. Arsenal gagne la League Cup (la Coupe de la Ligue anglaise) dès la première saison du nouvel entraîneur, qui bâtit une défense infranchissable autour de Lee Dixon, Tony Adams, Steve Bould et Nigel Winterburn. Le championnat 1989 donne lieu à un final incroyable : deuxième à trois points de Liverpool, avec une différence de buts inférieure de quatre buts, Arsenal doit battre son rival par deux buts d'écarts lorsqu'il se déplace à Anfield lors de la dernière journée. Vainqueur 2-0 grâce à un but de Michael Thomas inscrit à la dernière minute, l'équipe de Graham devance finalement leur adversaire grâce à une meilleure attaque[1],[6]. Renforcé par le recrutement du gardien de but David Seaman puis du buteur Ian Wright, le Boring Arsenal (en français : « ennuyeux Arsenal »)[1] est de nouveau sacré en 1991 en ne concédant qu'une seule défaite, et réussit le doublé Coupe d'Angleterre et Coupe de la Ligue anglaise en 1993[6]. Enfin Arsenal remporte avec Graham un second trophée européen en 1994 : la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupes, grâce à une victoire sur Parme AC[6]. Cependant la réputation de George Graham est ternie quand il est révélé que l'agent Rune Hauge lui a versé des commissions lors de la signature de certains joueurs[6]. Il est démis de ses fonctions en 1995 et suspendu durant un an par la fédération anglaise[note 3].
L'équipe d'Arsenal fêtant le sacre en championnat d'Angleterre en 2004
Les succès du club à partir de la fin des années 1990 doivent beaucoup au recrutement de l'entraîneur français Arsène Wenger en 1996, premier manager non britannique du club[6]. Bien qu'arrivé dans un relatif anonymat (les tabloïds anglais titrant, le lendemain de sa nomination « Arsene Who? »[6]), il apporte une nouvelle approche tactique, plus offensive[1], un nouveau régime d'entraînement et plusieurs joueurs étrangers complètent rapidement l'effectif de départ (notamment de nombreux français, dont les champions du monde Patrick Vieira et Emmanuel Petit[6], rejoints en 1999 par Thierry Henry, puis par Wiltord et Pires). Arsenal réussit deux nouveaux doublés coupe-championnat en 1998 puis en 2002 ; le club remporte également la Coupe d'Angleterre en 2003 et 2005[6].
En 2004, Arsenal est sacré champion en ne perdant aucun match[6], et porte le record d'invincibilité en Premier League à 49 matchs d'affilée. Avec cette performance, le club est surnommé « Arsenal l'invincible[7] ». Sous la conduite d'Arsène Wenger le club a toujours terminé à l'une des quatre premières places du championnat anglais. Arsenal est considéré comme l'un des quatre clubs anglais les plus importants avec Manchester United, Chelsea et Liverpool, il forment le « Big Four ». Cependant Wenger ne parvient pas à faire connaître à son club la même réussite sur la scène européenne : les joueurs de Wenger se qualifient en finale de la coupe de l'UEFA en 2000, qu'ils perdent aux tirs au but face aux Turcs de Galatasaray SK (0-0, 1-4 t.a.b.), puis en finale de la Ligue des champions en 2006, perdue face au FC Barcelone alors qu'ils menaient 1-0 jusqu'à un quart d'heure de la fin
Arsenal est fondé sous le nom de Dial Square FC en 1886[1] par des ouvriers de la manufacture d'armes Royal Arsenal, située à Woolwich, à l'Est de Londres sur la Tamise. Rebaptisé Royal Arsenal peu de temps après[2], le club adopte l'appellation Woolwich Arsenal lorsqu'il prend forme d'une Limited company en 1891. Les Gunners débutent en Football League Second Division, dont ils sont le premier club du sud du pays, en 1893[1]. Ils évoluent alors au Manor Ground de Plumstead. Quand ils sont promus en Football League First Division en 1904, il n'y a toujours pas d'autre club de la région de Londres en Football League. Cet isolement géographique du club handicape le club, qui connait des problèmes financiers en raison des faibles affluences lors des matchs joués à domicile.
Woolwich Arsenal (en foncé) face à Newcastle Utd en 1906.
En 1910, malgré la promotion de Tottenham et Chelsea dans l'élite, le club est proche de la faillite quand les hommes d'affaires Henry Norris et William Hall le rachètent[3]. Norris cherche à faire déménager le club, et alors qu'Arsenal est relégué en Second Division en 1913, il prend possession d'un nouveau stade situé dans le quartier d’Highbury, au nord de la capitale : l'Arsenal Stadium. L'année suivante, le club abandonne logiquement le Woolwich de son appellation et devient l’Arsenal Football Club[4].
Cinquième de Second Division en 1915, à la veille d'une interruption de quatre ans due à la Première Guerre mondiale, Arsenal bénéficie de l'élargissement à 22 clubs de la première division en 1919 pour y être promu dans des circonstances qui font polémique[4]. La promotion du club paraît peu défendable sur le plan purement sportif[5], si ce n'est les saisons passées par le club londonien dans l'élite, et semble être due en partie à l'influence de son président Norris[5],[note 2]. Dans le même temps, ses rivaux de Tottenham Hotspur, derniers de première division en 1915, sont relégués. Depuis lors, Arsenal n'est jamais redescendu en division inférieure.
En 1925, le talentueux Herbert Chapman devient l'entraîneur d'Arsenal[1]. Il a déjà remporté le championnat avec Huddersfield Town Football Club en 1924 et 1925, et Arsenal lui doit sa première période de succès majeurs. Ses méthodes d'entraînement et ses tactiques qualifiées de révolutionnaires, ainsi que des joueurs tels que Alex James et Cliff Bastin, sont à l'origine de la domination du club dans le football anglais des années 1930[1]. Dauphin d'Huddersfield Town en championnat en 1926, finaliste malheureux de la Coupe d'Angleterre en 1927 face aux... Gallois de Cardiff City, Arsenal remporte son premier trophée en 1930 en battant Huddersfield en finale de la Cup, puis enlève son premier titre de champion l'année suivante, grâce notamment par l'efficacité de son buteur Jack Lambert[5]. Vice-champions en 1932, les Gunners gagnent les trois championnats suivants (1933, 1934 et 1935), et ce malgré le décès de Chapman, victime d'une pneumonie en 1934. Ce dernier a tout de même le temps de faire renommer la station de métro Gillepsie Road en Arsenal[5], unique arrêt londonien portant le nom d'un club de football.
Après la conquête d'une deuxième victoire en Coupe en 1936 et un nouveau titre en 1938, Arsenal est durement frappé par la Seconde Guerre mondiale, qui coûte la vie à neuf de ses joueurs[5]. Au retour des compétitions, Arsenal remporte à nouveau le championnat en 1948 et 1953, ainsi que la Coupe d'Angleterre en 1950. Malgré ces succès, le club ne peut retrouver des joueurs de la qualité de ceux qui composaient son effectif dans les années 1930, et remporte peu de trophées avant les années 1970. L'ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre de football Billy Wright, devenu manager du club, ne parvient à connaître le moindre succès.
La seconde époque dorée commence en 1966 avec l'arrivée du physiothérapeute Bertie Mee en tant que manager[5]. Après deux finales de Coupes de la Ligue anglaise perdues, ils remportent la Coupe des villes de foires, leur premier trophée européen, en 1970, après avoir battu l'Ajax Amsterdam de Johan Cruijff et les Belges d'Anderlecht. Cette victoire est suivie de leur premier doublé coupe-championnat d'Angleterre en 1971, qu'ils ne sont que le deuxième club à réaliser après Tottenham, dix ans plus tôt[1].
Malgré ces succès, la décennie 1970 est caractérisée par un grand nombre de rendez-vous manqués. Ils finissent seconds du championnat en 1973, perdent deux finales de coupe d'Angleterre (1972, 1978). Mené par le gardien Pat Jennings, le défenseur David O'Leary et le milieu de terrain Liam Brady[1], Arsenal connaît un grand succès en battant à la dernière minute Manchester United en finale de la coupe d'Angleterre en 1979[5], mais la saison suivante est terrible avec deux défaites en finale de la coupe d'Angleterre et de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupes, perdue face le Valence CF à l'issue de l'épreuve des tirs aux but.
Le retour de l'ancien joueur international écossais George Graham en tant que manager en 1986 ouvre pour Arsenal une nouvelle période de succès[1]. Arsenal gagne la League Cup (la Coupe de la Ligue anglaise) dès la première saison du nouvel entraîneur, qui bâtit une défense infranchissable autour de Lee Dixon, Tony Adams, Steve Bould et Nigel Winterburn. Le championnat 1989 donne lieu à un final incroyable : deuxième à trois points de Liverpool, avec une différence de buts inférieure de quatre buts, Arsenal doit battre son rival par deux buts d'écarts lorsqu'il se déplace à Anfield lors de la dernière journée. Vainqueur 2-0 grâce à un but de Michael Thomas inscrit à la dernière minute, l'équipe de Graham devance finalement leur adversaire grâce à une meilleure attaque[1],[6]. Renforcé par le recrutement du gardien de but David Seaman puis du buteur Ian Wright, le Boring Arsenal (en français : « ennuyeux Arsenal »)[1] est de nouveau sacré en 1991 en ne concédant qu'une seule défaite, et réussit le doublé Coupe d'Angleterre et Coupe de la Ligue anglaise en 1993[6]. Enfin Arsenal remporte avec Graham un second trophée européen en 1994 : la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupes, grâce à une victoire sur Parme AC[6]. Cependant la réputation de George Graham est ternie quand il est révélé que l'agent Rune Hauge lui a versé des commissions lors de la signature de certains joueurs[6]. Il est démis de ses fonctions en 1995 et suspendu durant un an par la fédération anglaise[note 3].
L'équipe d'Arsenal fêtant le sacre en championnat d'Angleterre en 2004
Les succès du club à partir de la fin des années 1990 doivent beaucoup au recrutement de l'entraîneur français Arsène Wenger en 1996, premier manager non britannique du club[6]. Bien qu'arrivé dans un relatif anonymat (les tabloïds anglais titrant, le lendemain de sa nomination « Arsene Who? »[6]), il apporte une nouvelle approche tactique, plus offensive[1], un nouveau régime d'entraînement et plusieurs joueurs étrangers complètent rapidement l'effectif de départ (notamment de nombreux français, dont les champions du monde Patrick Vieira et Emmanuel Petit[6], rejoints en 1999 par Thierry Henry, puis par Wiltord et Pires). Arsenal réussit deux nouveaux doublés coupe-championnat en 1998 puis en 2002 ; le club remporte également la Coupe d'Angleterre en 2003 et 2005[6].
En 2004, Arsenal est sacré champion en ne perdant aucun match[6], et porte le record d'invincibilité en Premier League à 49 matchs d'affilée. Avec cette performance, le club est surnommé « Arsenal l'invincible[7] ». Sous la conduite d'Arsène Wenger le club a toujours terminé à l'une des quatre premières places du championnat anglais. Arsenal est considéré comme l'un des quatre clubs anglais les plus importants avec Manchester United, Chelsea et Liverpool, il forment le « Big Four ». Cependant Wenger ne parvient pas à faire connaître à son club la même réussite sur la scène européenne : les joueurs de Wenger se qualifient en finale de la coupe de l'UEFA en 2000, qu'ils perdent aux tirs au but face aux Turcs de Galatasaray SK (0-0, 1-4 t.a.b.), puis en finale de la Ligue des champions en 2006, perdue face au FC Barcelone alors qu'ils menaient 1-0 jusqu'à un quart d'heure de la fin
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