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mardi 19 avril 2011

Associazione Calcio Milan



L'Associazione Calcio Milan S.p.A. (Ltspkr.png écouter), dit aussi AC Milan ou Milan AC est un club de football Italien fondé le 16 décembre 1899 sous le nom de Milan Foot-Ball and Cricket Club[4]. L'équipe première, qui évolue en Serie A, est actuellement entraînée par Massimiliano Allegri.

C'est l'un des deux grands clubs de la capitale lombarde avec l'Inter Milan. Les « derbys » avec l'autre club milanais, appelés en Italie « Derby della Madonnina », sont toujours des matches de grande intensité, au cours desquels s'exacerbe la rivalité historique entre les deux clubs et leurs supporters.

L'AC Milan détient le record mondial de titres internationaux, à savoir 18 trophées : 1 Coupe du monde des clubs, 3 Coupes intercontinentales, 7 Ligues des Champions, 5 Supercoupes de l'UEFA (record européen) et 2 Coupes d'Europe des vainqueurs de Coupe.

Sur le plan national, l'AC Milan a notamment remporté 17 titres de champion d'Italie, mais aussi 5 Coupes d'Italie et 5 Supercoupes d'Italie (record italien).

L'AC Milan a participé à 11 finales de Ligue des Champions (1958, 1963, 1969, 1989, 1990, 1993, 1994, 1995, 2003, 2005 et 2007), ce qui en fait l'équipe à avoir participé au plus grand nombre de finales de cette épreuve après le Real Madrid CF (qui en compte 12 à son actif). Le club est par ailleurs, le dernier double vainqueur de cette compétition de manière consécutive (1989 et 1990).

Dans son traditionnel classement des meilleures clubs du monde, l'IFFHS sacre l'AC Milan comme étant l'équipe ayant passé le plus grand nombre de mois (37 fois) au sommet du football international.

Selon une enquête, l'AC Milan est couronné en ayant en tant que club, eu la meilleure équipe de tous les temps dans l'histoire du football, référence faite à la saison 1989/1990 où à l'époque, l'équipe était dirigé par Arrigo Sacchi[5]. Performance inédite et unique dans l'histoire du football, le Milan est la seule équipe à avoir remporté le Championnat d'Italie de football en étant invaincu, lors de la saison 1991/1992 (dans sa totalité), c'est-à-dire de réussir l'exploit d'enchaîner 58 matchs sans défaite en Série A. En 1988 et 1989, il devient le seul club (avec le FC Barcelone) à avoir placé trois de ses joueurs aux trois premières places au classement du Ballon d'or, aucun autre club européen n'a réalisé ce triplé, de plus par deux fois et de manière consécutive.

Toujours avec le titre de Ballon d'or, l'équipe lombarde détient par ailleurs le record du club le plus représenté sur la place haute marche du podium, autrement dit le nombre de fois qu'un joueur évoluant sous ses couleurs ait remporté le titre de meilleur joueur du football mondial de l'année, à savoir par 8 fois (1969, 1987, 1988, 1989, 1992, 1995, 2004 et 2007), cela eu lieu. Mais également, le dernier en date à l'avoir obtenu par deux et de même par trois fois consécutivement.

L'AC Milan est l'un des clubs les plus populaires et supportés à travers le monde, en particulier en Asie et en Amérique du Sud où le club se place en première position en termes de popularité et de supporters[6].

L'Associazione Calcio Milan est aussi un des membres fondateurs de l'ECA - Association Européenne des Clubs[7], organisation internationale construite sur les cendres du G-14 (dont le club avait été déjà un membre fondateur) et composé des principaux grands clubs européens réunis en un consortium, afin d'obtenir une tutelle commune des droits sportifs, juridiques et de la télévision devant la FIFA et l'UEFA

FC Internazionale Milan


Le Football Club Internazionale Milano, plus connu sous le nom de Internazionale ou Inter, est un club de football italien basé à Milan, qui évolue dans le championnat d'Italie de football.

Le club est fondé le 9 mars 1908 par des dirigeants dissidents de l'AC Milan, avec lequel il partage la résidence du stade Giuseppe-Meazza et dispute le « derby della Madonnina ». Ce sont des rencontres de grande intensité au cours desquels s'exacerbe la rivalité historique entre les deux clubs et leurs supporters. Le club nourrit une importante rivalité sportive avec la Juventus de Turin, face auquel il dispute le « derby d'Italie ».

Les trois clubs concentrent la majorité des titres acquis en Italie lors du le siècle dernier. L'Inter a remporté 18 scudetti (le nom donné à la victoire en championnat d'Italie), six Coupes et cinq Supercoupes d'Italie, ce qui en fait le club le plus titré du pays derrière la Juventus. Sur le plan international, l'Inter compte à son palmarès trois Ligues des champions, trois Coupes UEFA, deux Coupes intercontinentales et une Coupe du monde des clubs, ce qui lui vaut d'apparaître au sixième rang européen des clubs de football du XXe siècle selon l'IFFHS. En 2010, le club remporte un retentissant quintuplé : championnat, Coupe et Supercoupe d'Italie, Ligue des champions et Coupe du monde des clubs . Par ailleurs, l'Inter est l'unique équipe italienne à n'avoir jamais connu de relégation depuis son entrée en championnat, en 1908.

Le club aux rayures bleues et noires est dirigé par Massimo Moratti, arrivé en 1995, le fils d'Angelo Moratti (it), le président emblématique du Grande Inter dans les années 1960. Depuis décembre 2010, son entraîneur est le Brésilien Leonardo.




Les débuts (1908-1923)



Le Football Club Internazionale Milano est fondé le 9 mars 1908 par quarante-trois membres dissidents de l'AC Milan, italiens et suisses, mécontents de voir leur ancien club refuser aux étrangers la possibilité de jouer[2]. La volonté initiatrice des fondateurs de donner la possibilité aux joueurs non italiens de porter le maillot du club est incarné par son nom « Internazionale ». Ses couleurs sont l'or, le noir et le bleu[3].

Le premier président du club est Giovanni Paramithiotti, lequel est remplacé en 1909 par Ettore Strauss et en 1910 par Carlo De Medici. Seulement deux ans après la fondation du club, l'Inter remporte son premier championnat[2], qu'il doit notamment au talent de son entraîneur-joueur international Virgilio Fossati (en)[3].

La présidence du club change à plusieurs reprises les années suivantes, et l'équipe ne gagne plus de nouveau titre. La première Guerre mondiale provoque l'interruption des compétitions au cours du 1914-1915 et à l'annulation des championnats suivants. Mobilisé, le capitaine Fossati perd la vie au combat en 1918. Le championnat reprend ses droits en 1919 et permet à l'Inter de l'entraîneur Nino Resegotti de remporter en 1920 un second scudetto (en français : un titre de champion d'Italie), grâce à une victoire en finale sur l'US Livourne (3-2).

En 1921 l'Inter participe au championnat dissident organisé par la CCI. Dernier du groupe B, le club aurait dû être relégué en deuxième division mais bénéficie d'une modification du règlement, dans le cadre de la réunification des compétitions acté au cours du Compromesso Colombo, lui permettant de disputer un barrage afin de conserver sa place dans l'élite. Ce sera chose faite et le club évolue la saison suivante au sein du championnat réunifié.



Sous le régime fasciste, l'Ambrosiana (1928-1945)



l'encontre de ses orientations politiques[2], de fusionner avec l’Unione Sportiva Milanese au sein de la Società Sportiva Ambrosiana (it)[3].

Le nouveau club porte un maillot blanc marqué d'une grande croix rouge, inspiré des couleurs de la ville de Milan. Renommé l'année suivante AS Ambrosiana par le président Oreste Simonotti, le club est toujours nommé Inter par les supporters. Il remporte un troisième titre de champion en 1930, avant qu'en 1931 le président Pozzani ne le renomme officiellement AS Ambrosiana-Inter.
L'interiste Meazza en 1937.

En 1934, le club compte quatre joueurs parmi l'équipe nationale vainqueur de la Coupe du monde en Italie : Allemandi, Castellazzi, Demaría et l'attaquant Giuseppe Meazza[3]. Quatre ans plus tard, l'Inter remporte son quatrième titre de champion. Quelques semaines plus tard, ils sont cinq Azzuri à conserver leur titre de champion du monde à Paris : Olmi, Ferraris II, Ferrari, Locatelli et Meazza.

L'année suivante, les coéquipiers de Meazza, devenu meneur de jeu, remportent la Coupe d'Italie (Coppa Italia) pour la première fois de l'histoire du club, puis un cinquième scudetto en 1940. Handicapé par les blessures, Meazza quitte le club en novembre et signe à l'AC Milan.

Le club évite de peu la relégation lors de la saison 1941-1942, avant que les compétitions ne soient interrompus par l'extension de la seconde Guerre mondiale. En octobre 1945, à la chute du régime fasciste, le club retrouve son nom d'origine[



L'après-guerre (1945-1955)



Meazza revient jouer quelques matchs entre 1946 et 1948, comme entraîneur-joueur. Cette figure légendaire du club, auteur de 283 buts sous le maillot nerrazurri[3] (dont 247 en championnat), donne son nom au stade San Siro en 1980, un an après sa mort.

Après plusieurs années de moindre succès, l'entraîneur Alfredo Foni, adepte du catenaccio, mène le club à deux nouveaux titres de champion en 1953 et 1954, grâce notamment à quelques joueurs majeurs : Benito Lorenzi, le Suédois Lennart Skoglund et le Franco-Hongrois



La Grande Inter de Moratti (1955-1968)


Angelo Moratti rachète le club en 1955 au président Carlo Masseroni, qui doit quitter le club. Après plusieurs années sans succès, il débauche en 1960 l'entraîneur franco-argentin du FC Barcelone Helenio Herrera. Celui-ci fait venir l'année suivante l'attaquant espagnol Luis Suárez Miramontes, Ballon d'or en 1960, et bâti rapidement une équipe emblématique de l'histoire du club, connue comme la Grande Inter. Fin tacticien, Herrera bâtit un Inter hermétique, basé sur un système en 5-3-2 qui perfectionne le catenaccio, un système défensif optimisant l'art de la contre-attaque.

Elle gagne trois championnats (1963, 1965 et 1966, le championnat 1964 n'étant perdu qu'en match d'appui) mais surtout s'impose en Coupe des clubs champions européens à deux reprises en 1964 (contre le Real Madrid d'Alfredo Di Stefano) et en 1965 (contre le Benfica Lisbonne d'Eusébio) à San Siro. L'équipe est composée lors de ces deux finales de Sarti dans les buts, Burgnich, Guarneri, Picchi, Facchetti et Bedin (Tagnin) en défense, Suárez, Corso et Jair au milieu, Mazzola et Milani (Domenghini) en attaque Peiró. L'Inter remporte enfin la Coupe intercontinentale lors des deux saisons, face aux Argentins d'Independiente[4].

Le club compte alors dans ses rangs quelques-uns des meilleurs joueurs du monde et le président n'hésite pas à offrir, en vain, d'importantes sommes d'argent dans le but de recruter Pelé ou Eusébio, tous deux réceptifs mais les politiques totalitaires du Brésil et du Portugal empêchent toute transaction. Cette période dorée se termine en 1967, qui voit l'Inter détrôné en Italie par la Juventus, et battu en finale de Coupe des clubs champions européens face au Celtic FC. Herrera s'en va après huit saisons passés au club, le président Moratti l'imitant peu après[



De 1970 à 2005



Après la décennie de rêve, l'Inter remporte en 1971 son onzième Scudetto, puis son douzième en 1980. Le club atteint entre temps une nouvelle fois la finale de la Coupe des clubs champions européens en 1972, qu'il perd face au club qui domine alors le football européen : l'Ajax Amsterdam de Johan Cruyff.

Après deux victoires en Coupe d'Italie en 1978 et 1982, il faut attendre 1989 pour voir de nouveau le club s'imposer en championnat devant les deux grands clubs du moment : son grand rival milanais Milan AC et le SSC Naples de Diego Maradona. Ce titre permet alors à l'Inter de figurer au troisième rang des clubs les plus titrés en championnat.

Les années 1990 sont marquées par trois victoires en Coupe UEFA, en 1991, 1994 et 1998, plus une finale perdue en 1997. Le nouveau président Massimo Moratti, qui a racheté le club en 1995, n'hésite pas à investir beaucoup d'argent sur le marché des transferts, ce qui lui permet d'attirer des joueurs du calibre de Ronaldo (dit Il Fenomeno), Dennis Bergkamp, Youri Djorkaeff, Christian Vieri ou encore Roberto Baggio. Cette politique ne permet pourtant pas au club de reconquérir le championnat, largement dominé par l'AC Milan et la Juve. L'institution, qui porte l'image d'un club maudit, connaît à la fin des années 1990 une chute de popularité auprès de ses supporters.

L'Inter passe tout près du titre lors de la saison 2001-2002 : le club lombard reste en tête du championnat toute la saison et compte six points d'avance sur ses premiers poursuivants à quatre journées de la fin, avant de s'écrouler. Le club perd le titre lors du dernier match sur une défaite face à la Lazio Rome (2-4 après avoir mené 2-0). Maigre consolation, l'Inter remporte à deux reprises la Coupe d'Italie en 2005 et 2006.

Juventus Football Club



La Juventus Football Club (du lat. iuventus : jeunesse[4], prononcer : [juˈvɛntus]), communément appelée la Juventus et familièrement la Juve (prononcer : [ˈjuːve]), est un club de football professionnel italien basé à Turin, Piémont. Le club est le troisième plus ancien du genre dans le pays[5] et a passé toute son histoire, à l'exception de la saison 2006-07, dans la première division del championnat d'Italie de football (connus comme la Serie A depuis 1929).

Fondée en 1897 sous le nom de Sport Club Juventus par un groupe de jeunes étudiants turinois[6] et lié à la famille industriel Agnelli depuis 1923, le club est devenu un symbole de la culture italienne et italianità (italianité)[7],[8],[9], reflète, entre autres, dans sa contribution à l'équipe d'Italie de football, ininterrompue depuis la seconde moitié des années 1920 et reconnu comme l'un des majeurs et plus importants dans le monde[10], et, en raison de la politique idéologique et l'origine socio-économique des sympathisants du club[11] et leur présence massive dans toutes les régions du pays et, à l'étranger, principalement dans les pays avec une présence significative d'immigrants italiens, grâce à sa base de fans, plus que tout autre club italien et un des plus grands au niveau mondial[12].

La Juventus est historiquement l'équipe le plus titré d'Italie et l'un des plus titrés et reconnus au monde[13],[14]. Selon la International Federation of Football History & Statistics, un organisme reconnu par la FIFA, la Juventus a été le meilleur club italien et deuxième meilleur club européenne du 20ème siècle[15]. En 1985 la Juventus devient la première équipe dans l'histoire du football européen à remporter les trois compétitions majeures organisées par l'Union des associations européennes de football, la Coupe des clubs champions, la (supprimée) Coupe des coupes et la Coupe UEFA (premier club italien et d'Europe du Sud pour atteindre)[16],[17],[18]. Après leur triomphe dans la Coupe intercontinentale la même année, la Juventus est aussi devenue la première équipe dans l'histoire du football - et est actuellement l'unique au monde - d'avoir a remporté toutes les compétitions officiels au niveau international[


Création du club (1897-1900)

 

À la fin du XIXe siècle, à une époque où le sport se développait d'une façon considérable dans toute l'Italie et particulièrement à Turin, on note le développement du football, mais également du cyclisme, pratiqués à la patinoire du Parco del Valentino puis au Campo Piazza d'Armi (premiers terrains de la future Juventus) par des étrangers et étudiants. Ce sont ces étrangers (principalement des Britanniques) ainsi que quelques italiens en fréquentant[22] qui fondèrent les premiers clubs de football de la ville (comme le Football & Cricket Club Torino ou l'Internazionale Torino notamment).

En 1896, un groupe de lycéens turinois du Lycée Massimo D'Azeglio pratiquaient le jeu de la barre, puis plus tard le football au Duca di Genova l'après-midi en dehors des cours et se réunissaient autour d'un banc[6] (existant encore aujourd'hui) sur lequel il posaient leurs affaires à l'angle du Corso Re Umberto et du Corso Vittorio Emmanuele[23], sur lequel sera créé le futur club. Parmi cette quinzaine d'étudiants figuraient les frères Eugenio et Enrico Canfari qui tenaient un magasin-atelier de vente et réparation de bicyclettes au 42 Corso Re Umberto[6], boutique de leur père. C'est dans cette boutique qu'ils tiendront avec leurs amis et camarades la première réunion constitutive concernant la création d'un club multisport.
Les fondateurs en 1898 avec le premier maillot du club.

C'est ainsi que le 1er novembre 1897[23] fut fondé officiellement par les élèves de Massimo D'Azeglio (les plus vieux d'entre eux avaient 17 ans et les plus jeunes seulement 14 ans[24]) le « Sport Club Juventus » (au départ un club omnisport). Les treize lycéens fondateurs du Sport Club Juventus 




Futebol Clube do Porto



Le F.C.Porto (Futebol Clube do Porto en portugais) est un club portugais omnisports basé à Porto comprenant notamment une section football. Cet article ne concerne que cette section football. Le club présidé par Jorge Nuno Pinto Da Costa évolue dans le championnat du Portugal de football.

Leurs principaux groupes de supporters sont les Super Dragões & le Colectivo Ultras 95.

Le F.C.Porto est l'un des membres fondateurs de la Ligue Nationale en 1934.

Le club double vainqueur de la Ligue des champions a remporté 14 fois le titre national sur les vingt dernières années, montrant ainsi une grande domination sur le championnat. Porto a notamment été sacré champion quatre années de suite : en 2006, 2007, 2008 et 2009.

Avec le Benfica Lisbonne et le Sporting Portugal, le F.C.Porto constitue l'un des trois « grands » du pays.

Le F.C.Porto est actuellement classé 12e meilleur club de tous les temps d'après l'actualisation annuelle du classement IFFHS

Arsenal Football Club - The Gunner




Arsenal Football Club est un club de football anglais fondé le 1er mai 1886 à Londres.

Membre du « Big Four », Arsenal participe au championnat d'Angleterre de football depuis 1919 ; il en a remporté treize éditions, ce qui en fait le troisième club le plus titré d'Angleterre, ainsi que dix coupes d'Angleterre. Sur le plan continental, les Gunners (en français : « les canonniers ») comptent à leur palmarès une Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe obtenue en 1994. Ils ont également atteint les finales de la coupe de l'UEFA en 2000 et de la Ligue des champions en 2006.

Résident dès 1913 du stade de Highbury, situé dans un quartier du nord de Londres, le club s’est installé en 2006 dans une nouvelle enceinte de 60 355 places : l'Emirates Stadium, situé à Ashburton Grove. Arsenal nourrit une certaine rivalité avec les nombreux autres clubs de la capitale, mais celle l'opposant à Tottenham Hotspur, avec qui il dispute chaque année le « North London derby » est particulièrement ancienne et profonde.

Le club est dirigé par Peter Hill-Wood, fils et petit-fils des anciens présidents Denis et Samuel Hill-Wood. Il remplace son père à la mort de ce dernier, en 1982, après vingt ans aux responsabilités. Son entraîneur depuis 1996 est le Français Arsène Wenger, qui a mené notamment son équipe à deux doublés Coupe-championnat en 1998 et 2002.


Histoire

Arsenal est fondé sous le nom de Dial Square FC en 1886[1] par des ouvriers de la manufacture d'armes Royal Arsenal, située à Woolwich, à l'Est de Londres sur la Tamise. Rebaptisé Royal Arsenal peu de temps après[2], le club adopte l'appellation Woolwich Arsenal lorsqu'il prend forme d'une Limited company en 1891. Les Gunners débutent en Football League Second Division, dont ils sont le premier club du sud du pays, en 1893[1]. Ils évoluent alors au Manor Ground de Plumstead. Quand ils sont promus en Football League First Division en 1904, il n'y a toujours pas d'autre club de la région de Londres en Football League. Cet isolement géographique du club handicape le club, qui connait des problèmes financiers en raison des faibles affluences lors des matchs joués à domicile.
Woolwich Arsenal (en foncé) face à Newcastle Utd en 1906.
En 1910, malgré la promotion de Tottenham et Chelsea dans l'élite, le club est proche de la faillite quand les hommes d'affaires Henry Norris et William Hall le rachètent[3]. Norris cherche à faire déménager le club, et alors qu'Arsenal est relégué en Second Division en 1913, il prend possession d'un nouveau stade situé dans le quartier d’Highbury, au nord de la capitale : l'Arsenal Stadium. L'année suivante, le club abandonne logiquement le Woolwich de son appellation et devient l’Arsenal Football Club[4].
Cinquième de Second Division en 1915, à la veille d'une interruption de quatre ans due à la Première Guerre mondiale, Arsenal bénéficie de l'élargissement à 22 clubs de la première division en 1919 pour y être promu dans des circonstances qui font polémique[4]. La promotion du club paraît peu défendable sur le plan purement sportif[5], si ce n'est les saisons passées par le club londonien dans l'élite, et semble être due en partie à l'influence de son président Norris[5],[note 2]. Dans le même temps, ses rivaux de Tottenham Hotspur, derniers de première division en 1915, sont relégués. Depuis lors, Arsenal n'est jamais redescendu en division inférieure.
En 1925, le talentueux Herbert Chapman devient l'entraîneur d'Arsenal[1]. Il a déjà remporté le championnat avec Huddersfield Town Football Club en 1924 et 1925, et Arsenal lui doit sa première période de succès majeurs. Ses méthodes d'entraînement et ses tactiques qualifiées de révolutionnaires, ainsi que des joueurs tels que Alex James et Cliff Bastin, sont à l'origine de la domination du club dans le football anglais des années 1930[1]. Dauphin d'Huddersfield Town en championnat en 1926, finaliste malheureux de la Coupe d'Angleterre en 1927 face aux... Gallois de Cardiff City, Arsenal remporte son premier trophée en 1930 en battant Huddersfield en finale de la Cup, puis enlève son premier titre de champion l'année suivante, grâce notamment par l'efficacité de son buteur Jack Lambert[5]. Vice-champions en 1932, les Gunners gagnent les trois championnats suivants (1933, 1934 et 1935), et ce malgré le décès de Chapman, victime d'une pneumonie en 1934. Ce dernier a tout de même le temps de faire renommer la station de métro Gillepsie Road en Arsenal[5], unique arrêt londonien portant le nom d'un club de football.
Après la conquête d'une deuxième victoire en Coupe en 1936 et un nouveau titre en 1938, Arsenal est durement frappé par la Seconde Guerre mondiale, qui coûte la vie à neuf de ses joueurs[5]. Au retour des compétitions, Arsenal remporte à nouveau le championnat en 1948 et 1953, ainsi que la Coupe d'Angleterre en 1950. Malgré ces succès, le club ne peut retrouver des joueurs de la qualité de ceux qui composaient son effectif dans les années 1930, et remporte peu de trophées avant les années 1970. L'ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre de football Billy Wright, devenu manager du club, ne parvient à connaître le moindre succès.
La seconde époque dorée commence en 1966 avec l'arrivée du physiothérapeute Bertie Mee en tant que manager[5]. Après deux finales de Coupes de la Ligue anglaise perdues, ils remportent la Coupe des villes de foires, leur premier trophée européen, en 1970, après avoir battu l'Ajax Amsterdam de Johan Cruijff et les Belges d'Anderlecht. Cette victoire est suivie de leur premier doublé coupe-championnat d'Angleterre en 1971, qu'ils ne sont que le deuxième club à réaliser après Tottenham, dix ans plus tôt[1].
Malgré ces succès, la décennie 1970 est caractérisée par un grand nombre de rendez-vous manqués. Ils finissent seconds du championnat en 1973, perdent deux finales de coupe d'Angleterre (1972, 1978). Mené par le gardien Pat Jennings, le défenseur David O'Leary et le milieu de terrain Liam Brady[1], Arsenal connaît un grand succès en battant à la dernière minute Manchester United en finale de la coupe d'Angleterre en 1979[5], mais la saison suivante est terrible avec deux défaites en finale de la coupe d'Angleterre et de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupes, perdue face le Valence CF à l'issue de l'épreuve des tirs aux but.
Le retour de l'ancien joueur international écossais George Graham en tant que manager en 1986 ouvre pour Arsenal une nouvelle période de succès[1]. Arsenal gagne la League Cup (la Coupe de la Ligue anglaise) dès la première saison du nouvel entraîneur, qui bâtit une défense infranchissable autour de Lee Dixon, Tony Adams, Steve Bould et Nigel Winterburn. Le championnat 1989 donne lieu à un final incroyable : deuxième à trois points de Liverpool, avec une différence de buts inférieure de quatre buts, Arsenal doit battre son rival par deux buts d'écarts lorsqu'il se déplace à Anfield lors de la dernière journée. Vainqueur 2-0 grâce à un but de Michael Thomas inscrit à la dernière minute, l'équipe de Graham devance finalement leur adversaire grâce à une meilleure attaque[1],[6]. Renforcé par le recrutement du gardien de but David Seaman puis du buteur Ian Wright, le Boring Arsenal (en français : « ennuyeux Arsenal »)[1] est de nouveau sacré en 1991 en ne concédant qu'une seule défaite, et réussit le doublé Coupe d'Angleterre et Coupe de la Ligue anglaise en 1993[6]. Enfin Arsenal remporte avec Graham un second trophée européen en 1994 : la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupes, grâce à une victoire sur Parme AC[6]. Cependant la réputation de George Graham est ternie quand il est révélé que l'agent Rune Hauge lui a versé des commissions lors de la signature de certains joueurs[6]. Il est démis de ses fonctions en 1995 et suspendu durant un an par la fédération anglaise[note 3].
L'équipe d'Arsenal fêtant le sacre en championnat d'Angleterre en 2004
Les succès du club à partir de la fin des années 1990 doivent beaucoup au recrutement de l'entraîneur français Arsène Wenger en 1996, premier manager non britannique du club[6]. Bien qu'arrivé dans un relatif anonymat (les tabloïds anglais titrant, le lendemain de sa nomination « Arsene Who? »[6]), il apporte une nouvelle approche tactique, plus offensive[1], un nouveau régime d'entraînement et plusieurs joueurs étrangers complètent rapidement l'effectif de départ (notamment de nombreux français, dont les champions du monde Patrick Vieira et Emmanuel Petit[6], rejoints en 1999 par Thierry Henry, puis par Wiltord et Pires). Arsenal réussit deux nouveaux doublés coupe-championnat en 1998 puis en 2002 ; le club remporte également la Coupe d'Angleterre en 2003 et 2005[6].
En 2004, Arsenal est sacré champion en ne perdant aucun match[6], et porte le record d'invincibilité en Premier League à 49 matchs d'affilée. Avec cette performance, le club est surnommé « Arsenal l'invincible[7] ». Sous la conduite d'Arsène Wenger le club a toujours terminé à l'une des quatre premières places du championnat anglais. Arsenal est considéré comme l'un des quatre clubs anglais les plus importants avec Manchester United, Chelsea et Liverpool, il forment le « Big Four ». Cependant Wenger ne parvient pas à faire connaître à son club la même réussite sur la scène européenne : les joueurs de Wenger se qualifient en finale de la coupe de l'UEFA en 2000, qu'ils perdent aux tirs au but face aux Turcs de Galatasaray SK (0-0, 1-4 t.a.b.), puis en finale de la Ligue des champions en 2006, perdue face au FC Barcelone alors qu'ils menaient 1-0 jusqu'à un quart d'heure de la fin

FC Barcelone


Le Football Club de Barcelone (Futbol Club Barcelona comme nom officiel en catalan) est le principal club de sport de la ville de Barcelone (Catalogne, Espagne). Le FC Barcelone est connu sous le nom de Barça, le raccourcissement de la prononciation de « Barcelona » et ses disciples, les « culés » (prononcer kou'léss).

Vitrine de l'identité et du sport catalans, le club a été fondé le 29 novembre 1899 par douze jeunes footballeurs amateurs, sous l'impulsion du Suisse, Catalan d'adoption, Hans Gamper. L'une des principales caractéristiques du FC Barcelone est d'être multi-sports conformément au souhait de ce dernier. En plus de sa section principale, le club de football, il possède quatre autres sections professionnelles : le basket-ball, le handball, le rink hockey et le futsal. Avec ces cinq sections professionnelles, le FC Barcelone a remporté 31 Coupes d'Europe.

Mais ce club omnisports est également présent au niveau amateur dans d'autres sports : hockey sur gazon, athlétisme, patinage, hockey sur glace, base-ball, volley-ball, rugby et cyclisme. De ces 10 disciplines sportives confondues, le club a gagné 78 championnats nationaux et 106 Coupes d'Espagne.

Une autre de ses particularités est son très grand nombre de socis (en français : « adhérents », en espagnol : « socios ») et de supporters dans le monde entier (aficionats en catalan, aficinados en espagnol). Le club de football a dépassé les 180 000 socis en 2010 (184 116 au 1er juillet 2010), ce qui en fait le club de football ayant le plus d'abonnés au monde (on peut également nommer le Benfica Lisbonne, ou le Bayern de Munich). De plus, il y a plus de 1 800 clubs de supporters (les penyes en catalan) du Barça à travers le monde. Le FC Barcelone est l'un des quatre seuls clubs professionnels en Espagne (avec le Real Madrid, Athletic Bilbao et Osasuna) à ne pas avoir le statut de société anonyme et appartient donc à ses socis.


Historique


Le Football Club de Barcelone a été fondé le 29 novembre 1899 par un groupe de douze amateurs de football, réunis par le Suisse Hans Gamper à la suite d'une annonce publiée dans la revue Los Deportes, le 22 octobre de la même année. Parmi les douze fondateurs du club, il y avait six Catalans, trois Anglais, deux Suisses et un Allemand. Le nom original choisi était "Football Club Barcelona", en anglais, et c'est justement l'Anglais Walter Wild qui fût désigné premier Président, car il était le doyen des douze. Les couleurs bleus et grenat du maillot furent certainement choisies par Hans Gamper en référence au FC Bâle dont il était supporter.

Bien que le club soit initialement dédié au football, comme son nom l'indique, celui-ci devient progressivement omnisports à partir du lancement d'une première section alternative, celle d’athlétisme, en 1914. Au cours des années 1920, le club continue à s’ouvrir aux multisports et crée les sections de hockey sur gazon, basket-ball et rugby. Dans les années 1940, de nouvelles sections sont lancées parmi lesquelles le handball et le rink-hockey. Au moment de son cinquantenaire, le club dépassa les 25 000 membres.

En 1953 a lieu la première élection démocratique, réservée aux seuls membres masculins, pour la présidence du club. Pendant la quarantaine d'années de la dictature de Francisco Franco en Espagne, alors que les institutions politiques catalanes étaient interdites et réprimées, le club devient un symbole de la lutte antifranquiste en Catalogne et de la résistance contre le centralisme que représentait, entre autres, le régime franquiste. Le stade est alors l’une des rares scènes publiques où les supporters peuvent s’exprimer librement, et le club devient le meilleur ambassadeur de la Catalogne vis-à-vis de l’extérieur. C’est durant ces années qu’il est dit que, devenu un symbole, le Barça était « plus qu’un club », phrase prononcée par le Président Narcis de Carreras lors de son discours de prise de fonction en 1968[1].

Les années 1980 voient l’agrandissement du Camp Nou, et l’augmentation du nombre de socios au delà des 100 000 ; la revitalisation économique du club et les succès des sections de basket-ball, handball et hockey sur glace, qui conquièrent d’importants titres espagnols et européens. La décennie des années 1990 fut une excellente décennie de l’histoire du FC Barcelone, que ce soit pour le football -avec la première victoire en Coupe d'Europe des clubs champions en 1992- que pour les autres sections sportives. L’équipe de basket-ball consolida sa place dans l’élite espagnole et européenne, bien qu’ils ne conquièrent pas la Coupe d’Europe dont ils eurent l’occasion de disputer quatre fois la finale. L’équipe de handball devint la meilleure équipe du monde en gagnant tous les titres, dont la Coupe d’Europe à six reprises. Troisième au classement des clubs de football du XXe siècle, le FC Barcelone emporte le premier rang pour la décennie 2000-2010 selon l'IFFHS[2], grâce notamment à une saison 2008-2009 achevée sur un sextuplé inédit dans l’histoire de ce sport.


Manchester United Football Club




Le Manchester United Football Club est un club de football anglais de la ville de Manchester, basé réellement à Trafford, dans son stade d'Old Trafford dans le Greater Manchester. Il est fondé en 1878 sous le nom de Newton Heath et est un des membres fondateurs de la Premier League en 1992.


Manchester United est l'un des clubs les plus populaires et des plus riches[2] dans le monde avec des revenus les plus élevés de tout club de football, d'une valeur estimée à 897 millions de livres[3],[4] à partir de septembre 2008, le club est aussi un des fondateurs de l'Association européenne des clubs.

MU a le deuxième palmarès britannique pour un club de football, remportant le championnat d'Angleterre à dix-huit reprises, à égalité avec le club rival de Liverpool. Le club a également remporté onze coupes d'Angleterre, quatre Coupes de la Ligue anglaise, trois Ligues des Champions, une Coupe des Coupes, une Supercoupe de l'UEFA, une Coupe intercontinentale et une Coupe du monde des clubs.

Le manager est Sir Alex Ferguson depuis 1986, et le capitaine actuel est Nemanja Vidic.
Débuts (1878-1945)[modifier]

Le club est fondé en 1878 sous le nom de « Newton Heath LYR F.C. ». Il s'agit alors d'une équipe corporative de la compagnie ferroviaire Lancashire and Yorkshire Railway (LYR). Le club se fait un nom localement et veut grimper en ligue. Il ne sera accepté qu'à la troisième demande en 1892 mais l'apprentissage est difficile avec une descente en 1898 en deuxième division alors que Manchester City gagne son premier titre.

Après quelques années difficiles, le club gagne enfin le pouvoir financier grâce à un brasseur, John Henry Davies, pour progresser avec de nouveaux joueurs et une nouvelle direction. La décision de changer de nom est alors prise : Manchester Central est proposé ainsi que Manchester Celtic, les deux propositions furent rejetées pour le nom qui deviendra célèbre aux quatre coins du monde, en 1902 : Newton Heath devient officiellement Manchester United Football Club. De plus, le club abandonne les couleurs de Newton Heath, le vert et l'or, pour le rouge et le blanc.

Ernest Mangnall entraîne l'équipe de l'époque dont faisait partie Turnbull, Bannister, Burgess et Charlie Roberts. Dès 1908, MU obtient son premier titre de champion et gagne la Coupe d'Angleterre en 1909, en battant Bristol City 1-0. Ce fut une période faste pour les supporters qui eurent droit à un nouveau stade. Le club s'installe à Old Trafford (surnommé aujourd'hui le Théâtre des Rêves).

Les années 1920 et les années 1930 furent des décennies difficiles pour MU. Le club descend en D2 en 1922, lutte pour s'y maintenir, se stabilisant dans le ventre mou de ce championnat de D2. En 1927, c'est une mini-crise, les fans menacent de boycotter le club. Pour faire face à la crise, la possibilité de vendre le stade est même à l'étude, et la même année, l'arrivée d'un homme d'affaires James Gibson éponge la dette de 2 000 £ et prend le contrôle du club.

Mais le miracle sportif ne se produit pas malgré l'embauche d'un nouvel entraîneur, Scott Duncan et en 1934 le club plonge vers la D3. Dos au mur, MU affronte Millwall FC le 5 mai alors que de l'autre côté, Manchester City, le club rival de toujours se qualifie pour la finale de la Coupe d'Angleterre grâce à Matt Busby.

MU fait l'ascenseur et finit par remonter en première division en 1939, au moment où la guerre commence. Durant la guerre, Old Trafford est bombardé et se trouve en ruines.

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